Je travaillais jour et nuit et je mangeais une fois la journée. Un jour, après une longue journée de travail, j’ai réclamé mon salaire. Je voulais rentrer pour fuir cet enfer et j’ai menti que ma mère était malade et que j’avais besoin de rentrer pour la voir. Le patron a refusé, mais j’ai insisté. Après, il m’a furieusement frappée jusqu’à me blesser la jambe et le bras gauche arguant que je lui manque de respect ».l’une des témoignages des femmes burundaise de ménages qui font face à une vie très dure dans leur travail..